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14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 18:44

 

Les sumos…. C’est le dossier qui sera traité demain par notre équipe de choc de Bocaliens toulousains . Le thème des sumos aurait pu être  le sujet d’une rubrique Yappari tant il évoque pour moi de gargantuesque repas. Il faut bien dire qu’ils n’ont pas la Taille fine nos amis Sumos. Ne pensez pas pour autant qu’il est facile pour eux de manger ( je sais il y a quand même plus dure dans la vie que de se goinfrer ) car c’est un combat de tous les instants car un sumo doit peser 130 kilos MINIMUM....

Le premier Chanko ( repas du sumo) est servi à midi , pas de petit déjeuner pour nos sportifs qui se lèvent à 5h du matin et commence par une longue séance d’entraînement.Le chanko est composé de différents plats et d’une énorme marmite, qui constitue le plat principal. C’est une sorte de ragoût  riche en viande, très gras et très salé sensé aider les lutteurs à assimiler une énorme quantité de riz, accompagnée de petits "amuse-gueules" ,beignets de poissons, boulettes de viande, pâtés de tofu, gâteaux de riz, bouillon de nouille… ( personnellement, je m’arrêterai aux amuse-gueule histoire de ne pas finir transformé en Barrique) , et de boissons sucrées (jus de fruit, sodas...).

Nos amis sumos font 2 repas par jour de chanko, après lesquels ils dorment systématiquement.Histoire de ne pas perdre de poids. ^

Au final, il consomme en moyenne dans la journée 10 000 calories alors que pour le commun des mortels dont nous faisons partie, c’est 2 000 calories !Certains lutteurs qui ont du mal à prendre du poids peuvent aller jusqu'à 5 repas de "chanko" par jour.

Si les sumos sont considérés comme des dieux au Japon et font l’objet de convoitises pour les japonaises ( elles se battent même pour les approcher mais oui c'est possible) pour ma part je préfère quand même Yamapi …..il coûte sûrement moins cher à nourrir.

 

Anakine 

 

 

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13 février 2011 7 13 /02 /février /2011 18:52

                                        80832.jpg

 

Au Japon la tradition veut que se soient les filles qui offrent des chocolats aux garçons, pour leur avouer leur amour, ou leur montrer qu'elles pensent à eux. En retour, ceux-ci devront leur rendre la pareille le 14 mars, jour connu sous le nom de White-Day.
C'est la tradition cependant depuis quelques années la tendance semble s'inverser et les filles préfèrent s'offrir des chocolats entre elles. On les a appelle tomo choco (chocolats d'amitié), différents des honmei choco (pour les amoureux).
Selon un sondage réalisé par Glico (Pocky), cette année 74 % des japonaises comptent donner des chocolats à leurs amies, contre 32 %, seulement, à leur petit-ami.

Si 11,2 % des jeunes femmes entre 10 et 30 ans interrogées ont prévu d'offrir des chocolats pour avouer leurs sentiments à l'élu de leur cœur, on se rend compte que le pourcentage diminue avec l'âge. En grandissant, les femmes ont plutôt tendance à s'acheter des douceurs pour elles-mêmes.

Au moins on est sure d'avoir les chocolats qu'on aime (^-^)

 

Anakine

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18 janvier 2011 2 18 /01 /janvier /2011 18:06

                                                                                

Les lendemains de réveillon, en France, sont l'occasion (ou pas) de faire le décompte des voitures brûlées. Au Japon, la tradition est malheureusement celle d'un décompte plus macabre : celui des victimes du mochi. Ce gâteau de riz gluant, traditionnellement consommé pour célébrer le nouvel an, est responsable chaque année de nombreux décès. Et le passage à 2011 n'y a pas échappé : 6 personnes ont trouvé la mort en consommant des mochis, tandis que 18 personnes sont toujours hospitalisées, dont 5 dans un état grave.

 

Le problème ne vient pas de la qualité ou de la fraîcheur des gâteaux : les victimes sont des personnes âgées, qui n'ont pas suffisamment bien mâché leur mochi, et se sont donc étouffées avec la pâtisserie. Les mises en gardes sont pourtant nombreuses, les pompiers recommandant de couper en petits morceaux les mochis avant de les avaler.

 

Face au phénomène, certains tentent de trouver la parade. Certaines marques d'aspirateurs fournissent désormais avec leur appareil un suceur "spécial mochi" : en cas d'étouffement, plongez cet embout dans la gorge de la personne en détresse, et aspirez... Une méthode popularisée par le film de Juzo Itami Tampopo (1985).

 

Les autorités japonaises s'inquiètent de ce phénomène, qui pourrait rapidement devenir un grave problème de santé publique. Avec une population japonaise vieillissante, le mochi tueur pourrait faire de plus en plus de victimes dans les années à Venir."

 

 

 

 

 

Anakine

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2 janvier 2011 7 02 /01 /janvier /2011 17:58

 

Je reviens du concert the de Fool et je m'interroge.... Ai-je apprécié la performance du Trio qui s'est produit samedi 3 décembre  dans cette salle Parisienne au nom poétique "Instants Chavirés". 

Si mon coeur n'a pas totalement chaviré pour The fool, au niveau originalité de la musique -, je dois reconnaître que la performance scénique était elle au rendez-vous pour le plus grand plaisir des fans qui s'étaient déplacé samedi soir en petit comité. 

 

The fool est groupe de visual Kei dont la création est toute récente ( avril 2009) , Il surfe sur la vagues electro, loud, rock , néanmoins le style n'est pas novateur et ne leur permet pas de se détacher de la multitude de groupe du genre. 

 

Dans le visual ,l'esthétique des groupes est aussi important que la musique elle-même et pour The fool on peut dire que l'accent est mis sur ce point. Coupes délirantes,maquillage et vêtements gothiques viennent compléter le tableau. The fool nous amene bien dans le coeur du Visual en donnant une place de choix au spectacle. Gunji (le chanteur) se donne a fond sur scène et joue avec son public avec une joie non dissimulé. On ressent cette joie d'être sur scène et de partager sa musique. 

 

Reste que musicalement , The fool n'a pas encore atteint sa maturité... rien d'étonnant car c'est un groupe jeune dont il faudra suivre l'évolution. ^^

Anakine 
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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 20:00

Trois ans après sa sortie officielle, sans trop m’être renseigné dessus, j’ai découvert la Traversée du Temps. Faisant confiance a un  conseil avisé , j’ai découvert une histoire sympathique.

La trame du récit, si elle est un grand classique de l’univers de la science-fiction, est assez inhabituelle dans celui des dessins animés japonais.



Makoto est une jeune lycéenne comme les autres, un peu garçon manqué, pas trop intéressée par l'école et absolument pas concernée par le temps qui passe. Jusqu'au jour où elle reçoit un don particulier : celui de pouvoir traverser le temps.

Améliorer ses notes, aider des idylles naissantes, manger à répétition ses plats préférés ( ça c'est le paradis), tout devient alors possible pour Makoto. Mais influer sur le cours des choses est un don parfois dangereux, surtout lorsqu'il faut apprendre à vivre sans !
Loin du héros qui utilisera cette capacité de voyage temporel pour sauver le monde ou de celui qui visitera telle ou telle période historique, Makoto l’utilise bien souvent pour des broutilles (voir sa visite régulière auprès du frigo pour inspecter son flan avant que sa petite sœur ne l’avale tout cru, faire du karaoké à l'oeil) et s’amuse beaucoup en faisant un peu n’importe quoi avec.
Sur de nombreux point, j’ai repensé au film « Un jour sans fin » où le héros, interprété par Bill Muray, est condamné à revivre sans cesse la même journée et finit par la mettre à profit pour aider ceux qu’ils rencontrent, se lier d’amitié avec eux et séduire la femme dont il est tombé amoureux. Dans Tokikake, Makoto persévère également pour comprendre les sentiments amoureux des deux garçons qu’elle côtoie tous les jours.

Le film joue bien évidemment avec les paradoxes qui résultent des voyages temporels de Makoto : la jeune fille connaît certaines informations avant que l’intéressé ne les annonce, elle peut influer les evenements. Elle s'aperçoit q’il est toujours délicat de changer le cours du temps car le remède se révèle souvent pire que le mal.


Le film garde toujours un ton léger et préserve son ambiance insouciante d’un bout à l’autre de l'histoire.
Le plus étonnant, c'est la façon dont Makoto traverse le temps en faisant de grands sauts n’importe où et en ratant systématiquement son atterrissage.




Un film à voir comme Brave story ou Un été avec COO ....

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 21:34

 

 

 

Sujets diffusés sur Gaming Spirit

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21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 21:46

hanami2 

Les japonais aiment rattacher leur vie au cours des saisons.

Quand un Japonais se conforme aux usages saisonniers, il sent qu'il fait partie de l'Univers et que la Nature le supporte, ce qui le rassure profondément, alors que les commandements et le contrat avec le Dieu n'ont pas tellement d'importance. Les deux époques les plus prisées des Japonais sont d'une part l’Hanami au printemps, la contemplation des cerisiers en fleurs et le Momijigari, la chasse aux érables rougeoyants.

Nous voici donc dans une des saisons favorites des Japonais le Printemps. Pour la petite histoire :

L’ Hanami littéralement regarder les fleurs  est la coutume traditionnelle japonaise d’ apprécier la beauté des fleurs . Les  fleurs  évoquent  presque toujours les fleurs de cerisier (sakura). A partir de fin mars ou début avril, les sakura entrent dans la pleine floraison partout dans le Japon.

 

De nos jours, l ‘hanami se résume souvent à profiter de cette saison pour faire la fête sous les cerisiers en fleur.

La pratique de Hanami est vieille de plusieurs siecles. On considére que la coutume aurait commencé durant la période Nara (710-784) à l’époque ou la dynastie chinoise Tang a fortement influencé le Japon, entre autre en apportant la coutume d’apprécier les fleurs.

Cependant, c’était les fleurs d’ume (prune) que les gens admiraient à cette Èpoque, et ce n‘est que durant la période Heian que les sakura ont commencé  à attirer l’attention.

Les sakura étaient  à l ‘origine employés comme annonciateur de la saison de plantation du riz. Les gens croyant à l’ existence de dieux à l ‘intérieur des arbres faisaient des offrandes aux pieds des sakura.

 

L’empereur Saga de la période Heian a adapté cette coutume et en a fait des fêtes de ´ contemplation des fleurs  avec du sake et des mets, sous les branches des cerisiers en fleur dans la cour impériale  à Kyoto. Des poésies étaient écrites, louant les fleurs sensibles, qui étaient vues comme une métaphore de la vie elle-même, lumineuse et belle, mais passagère et éphémére. Ceci serait le début de Hanami.

La coutume a été à  l ‘origine limitée à l’Èlite de la cour impÈriale, mais s ‘est rapidement répandue à la société des samourais et à partir de la période Edo aux gens du peuple. Sous les arbres de sakura, ils prenaient un repas et buvaient le sakÈé dans l ‘allégresse

           

De nos jours

La coutume existe toujours. Durant la période de floraison des cerisiers, les Japonais partent pique-niquer en famille  ( pour déguster un bento , nous en reparlerons) ou entre amis sous ces arbres. Les moments les plus appréciés sont l ‘apparition des premiéres fleurs que guettent les photographes et la pÈriode de pic de floraison ( mankai).

 

Profitez du printemps et de ses fleurs...car l'été arrive à grand pas maintenant (^-^)

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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 19:44

 

Diffusez sur Gaming Spirit:

Les Dramas et les mangas sont une source inépuisable de découverte culinaire sur le Japon. Gokusen,  manga de Kozueko Morimoto adapté en drama puis en anime  en est  l’exemple parfait.

 

Kumiko Yamaguchi est une enseignante fraîchement diplômée

qui se voit chargée de la pire classe du Lycée , la 3-D. Cette classe regroupe en effet tous les délinquants. Yankumi, c’est le surnom que lui ont donné ses élèves, cache une double identité. Elle est héritière d’une grande lignée de yakuzas.

 

Tetsu et Minoru, 2 yakuzas  de son clan tiennent un petit Stand de Takoyaki. Tout au long des épisodes, Yamkumi et ses élèves viennent déguster ses petites boulettes appétissantes.

  

Les Takoyaki qu’est-ce que c’est et où peut  en  déguster ?

 

Le Takoyaki  (littéralement pieuvre cuite) est une spécialité d’Osaka. C’est une petite boule de pâte à crêpes avec des morceaux de poulpe cuit dans de petits moules ronds. Il est généralement vendu en kiosque pour être emporté et consommé dehors. Dans la Région du Kansai, on le mange au repas avec un bol de riz. Enfin il est important de préciser que le Takoyaki se mange bouillant à peine sorti de la plaque . Ils sont assaisonnés de mayonnaise et d’une sauce spéciale, parsemée de Bonite en copeaux ou katsuibushi pour la décoration.

 

À Paris, le Naniwa  Ya*, situé dans la rue St Anne sert des Takoyaki.

 

La salle est réduite car la cuisine prend 1/4 de l’espace mais l’avantage c’est que vous pouvez voir  les chefs préparer de délicieux petits plats typiques dont les Takoyaki. Vous pourrez déguster d’autres spécialités nipponnes comme Le Donburi, les Udon ou le  Soba. La carte est fournie et une version toute en japonais est disponible pour les Japonais de passage… Ils sont nombreux dans le quartier

 

Un point intéressant et rare le Thé est  gratuit et à volonté.

 

Itadakimasu  bonne degustation a tous si vous passez a Paris.

 

L’eau a la bouche ?…Ne pleurez pas  vous aussi vous pouvez

participer à ses découvertes culinaires. Google va devenir votre ami : tapez Takoyaki avec le nom de votre ville et vous découvrirez peut-être un restaurant qui sert cette spécialité d’Osaka .. ;Au pire vous aurez la recette … Alors  a vos fourneaux.

 

 

* 11, rue Sainte-Anne / 75001 Paris

 

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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 19:34

Diffusez su Gaming spirit le 11 mai 2010 :

Le Japon est un pays qui déborde d’originalité et cela même dans le domaine culinaire. Alors que nous mangons notre

traditionnel Sandwich jambon beurre a l’heure du déjeuner, les Japonais eux savourent un délicieux Bento.

 

Le Bento qu’est que c’est et ou peut-on en manger ?

 

C'est un repas, contenu dans une boîte compartimentée appelée bentobako conçu pour être emporté lors de déjeuners

à l’extérieur. Il est généralementconfectionné à la maison ou bien acheté dans un magasin.Les principaux consommateurs 

sont les écoliers,( les cantines sont rare voir inexistante)et les salary man qui n'ont pas le temps d’aller restaurant ou de rentrer 

chez eux pour le dejeuner.

 

À l'intérieur, 

des boulettes de riz, des nouilles accompagnés de légumes de saison et de  la viande découpé de manière très esthétique. 

 

L’imagination des Japonais étant délirante, ils n’ont pas pu s’arrêter là. Ils ont donc créé le Bento Art Food ou kyaraben qui représente des personnages comme Totoro, Hello Ketty ou Mario.

Le Bento art food est un art  exercé principalementpar les mamans japonaises. L’idée est  de rendre le repas de 

leur petit chérubin plus attractif et de leur faire manger des légumes …. 

 

et oui c’est un piège …

 

Si le Bento apparaît au XIIe siècle, ce n'est qu'à l'ère Edo qu'il prend sa forme actuelle pour être dégusté au théâtre 

Kabuki ou lors d'un pique-nique sous les cerisiers en fleurs. 

 

Dans Nobuta Wo Produce, un Drama diffusé en 2005 sur NTV adaptation d’un roman de Gen Shiraiwa on retrouve 

le Bento. 2 Amis Shuuji et Akira (interprétée par  Kame de Katun et Yamapi du groupe News) se sont lancé ledéfi de 

transformer Nobuko une élève timide et harcelée en fille populaire.

 

Shuuji adore manger et chaque midi, il déguste avec ravissement le bento que lui prépare Mariko.. On finit même par 

le soupçonner de ne la voir que pour ses talents culinaires . Le vilain....

Nobuta, toujours dans le but de gagner de la popularité, participe à une émission  diffusée par le club de télé de son lycée 

ou elle goûte et commente les bento de ses petits camarades et de ses professeurs ...

 

 

 

A Paris, Ace Bento  rue Thérèse dans le quartier de St Anne,vous permettra de découvrir l’art Ancestral du bento

pour 8 euros.

 

Derrière une longue vitrine, 3 petites Japonaises composent le plateau de votre choix. Pour moi, porc pimenté, 

riz cuisiné, avec 5 assortiments ( kimchi, haricots verts au sésame, champignons, salade de radis, pousses de soja,)

et une salade de fruits. Vous pouvez l’emporter ou le consommer sur place dans une jolie salle épurée aux couleurs

acidulés. 

 

Itadakimasu bonne dégustation à tous si vous passez a Paris.

 

Vous n’avez pas de restaurant qui prépare des Bentos dans votre ville ? Lancez vous  dans la confection de Bento. 

Le site Bento and co propose un assortiment d’accessoires. Il ne vous reste plus qu’a vous mettre aux fourneaux.

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 00:00

l'empreinte du mal ou l'autre visage du Shojo


le Shojo qu'est-ce que c'est ?

Le mot shōjo signifie adolescente en japonais,il est exclusivement utilisé pour désigner un type de manga. Le shōjo manga (少女漫画 est un style de manga dont la cible éditoriale est avant tout constituée par les jeunes adolescentes, même si les garçons en lisent aussi. Le genre est à opposer au shōnen manga (少年漫画, le manga pour jeune garçon).

Zen est un criminel dont la tête est mise a prix. les bains de sang ne lui font pas peur. Au contraire, ils le font même sourire. A la recherche de son passé, ce loup presque solitaire va s'éléver, malgré lui, contre le totalitarisme qui regne dans son pays.

L'empreinte du mal ne sonne pas comme un shojo ( Candy est un Shojo ), il nous prouve d'ailleurs que ce ne sont pas toujours des histoires d'amour cucu. Aya Kanno, la mangaka nous livre un shojo d'action qui va à toute vitesse. Pas le temps de s'apitoyer sur le sort de ce malfrat recherché par la police ou sur celui de ses victimes. Tout es fait pour que l''on ressente un malaise constant.

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